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envoi de : Dominic R.
C'est en nous transformant que nous devenons ce qui est de nous et de notre rapport au monde.
Il ne s'agit donc que de mûrir ensemble des actes réels qui permettront des relais, des échanges et des rencontres, pour accueillir en vivant ce que l'on est, ce que l'on pense.
Je suppose que tous ceux qui ont des boulots en or ou des maisons idéales dans lesquelles ils peuvent spéculer sur l'art du bien être, peuvent avoir des difficultés à imaginer une histoire d'un homme qui ne soit ni un conquérant ni guerrier ni aristo ni bourge ni prolo ni mendiant ......
Ne sommes nous pas des êtres en mouvement,
en transformation constante ?
Est-ce le phénomène de scolarisation qui nous rend aussi fragile quant à d'autres perspectives qui n'annoncent nullement le changement de la société
ou des autres, mais des associations d'individus en mouvement qui en se questionnant et ayant pris connaissance des modes de vie sociaux ont un
désir et un amour de partager et de communiquer sur d'autres modes comme déscolarisation.
Projetorgone ce serait donc des aboutissements non finis mais en mûrissements constants pour des humains qui ont choisi et qui choisissent, libres à ceux que ce genre de vie ne branche pas d'aller vivre comme la société ou le système le réclame pour moi il n' y a pas de contradictions entre les genres ce sont les gens qui battissent et édifient des lois de contradictions mais être ensemble peut devenir des chantiers passionnants, écrire pour jeter des ponts, oh, l'histoire n'est pas la même pour tous, alors tenter n'est jamais mourir mais vivre et éprouver, être différent et vivre autrement résulte aussi de l'amour de la vie.